26 Aug 2019
CIEL Finance

Rencontre avec Sandrine Busviah, Bank One : "Une vie professionnelle réussie, c'est avoir le sourire en rentrant et en sortant du travail, tous les jours"

De sa personnalité émane une énergie positive. Alors qu’elle poursuit son petit bonhomme de chemin à la Bank One, Sandrine Busviah enchaîne les expériences. Rencontre avec cette amoureuse de la nature et du trail, récemment promue ONE Service Team Leader.

Pouvez-vous nous faire une présentation express de vous ?

Je m’appelle Sandrine, j’ai 29 ans. Cela fait 5 ans, soit depuis la fin de mes études en mathématiques, que je travaille à la Bank One, au sein du département « International Banking ».

En quoi consiste votre poste ? Comment avez-vous atterri chez Bank One ?

Je supervise les opérations et transactions transfrontalières de toutes les compagnies ayant un compte auprès du département « International Banking ». C’est un peu par hasard que je suis arrivée chez Bank One. À la fin de mes études, comme tout étudiant en quête d’expérience professionnelle, j’avais envoyé mon CV un peu partout. C’est ainsi que j’ai atterri à la Bank One comme stagiaire (toujours au département international) sur un contrat d’un an, pendant lequel je devais faire un peu le tour afin d’avoir une idée globale du fonctionnement bancaire. Trois mois plus tard, on me faisait une offre et voilà !

5 ans que vous êtes à la Bank One… what is the next step ? Parlez-nous de vos aspirations professionnelles.

En 5 ans je suis passée de stagiaire à Service Officer, ensuite au poste de Senior Client Service Coordinator. Et depuis février, j’ai été promue ONE Service Team Leader. Je dirai que j’ai encore beaucoup à apprendre dans mes nouvelles fonctions… On sait tous que des chaussures neuves peuvent faire mal, je préfère donc pour l’heure les ajuster à mes pieds.

Quelle est votre définition d’une vie professionnelle réussie ?

Avoir le sourire en rentrant et en sortant du travail, tous les jours. Qu’importe la journée que vous avez eue, il faut aimer ce que vous faites. Les gens ont trop tendance à confondre vie professionnelle réussie et réussite financière. À défaut de vouloir courir derrière les deux, on perd de sa personne.

Vous êtes une passionnée de trail… Dites-nous en plus.

L’histoire veut que ma passion pour le trail commence à la Bank One en 2014. Peu de temps après mon intégration dans l’entreprise, j’entends parler du CIEL Ferney Trail. Sauf que compétitrice dans l’âme, je ne veux pas m’y inscrire pour faire une balade, 10 km, c’est quand même long ! Je m’inscris donc au Moka Trail au mois d’octobre, avec « un peu plus » de préparation pour parcourir une distance de 15 km. Je termine la course en 64eposition, fière de moi. L’année 2015 sera par la suite décisive. Sans de vrais entraînements, je finis 14ede la ligne courte de trail. Depuis, je n’arrête pas ! Le trail, c’est plus qu’une passion, c’est un art de vivre ; c’est se surpasser, discipliner son alimentation, mieux gérer son temps, rencontrer des gens de tout bord qui parlent la même langue : l’amour pour la nature. Il n’y a pas de perdant au trail. On y va tous pour des objectifs différents et passer la ligne d’arrivée est une victoire à elle seule.